En s’inspirant des recherches des paléoclimatologues, cette expérience plastique immersive prend pour point de départ la fascination pour les mutations extrêmes des paysages, celles qui sont lentes et invisibles à l’échelle de nos regards, et qui interrogent nos sensations et nos besoins spatiaux comme temporels.
Le dispositif place le public au cœur d’un triptyque vivant, constitué en tableau, dans un mouvement de destruction et de reconstruction permanent de la nature. La création sonore de Chloé Thévenin amplifie ce principe d’illusion, en mêlant sons réels d’eau et de jungle et création de musiques électroniques. Au cœur du dispositif, les performeuses Chloé Moglia et Mathilde Van Volsem, en alternance, tiennent en suspension, fragiles et impermanentes face à l’incommensurable temps géologique…
Une performance-installation par Noemie Goudal et Maëlle Poésy
À partir de l’œuvre Post Atlantica de Noemie Goudal
